Dans ma détresse, j'ai cessé de me battre, je me suis avoué vaincu, bref j'ai baissé les armes et ce fut le début d'une abstinence en émergence.
À force de me battre et de terminer mes journées K.O. de jours en jours, j'ai cessé d'accepter les invitations de l'alcool à l'affrontement (de façon imagée j'en conviens).
L'aspect de la codépendance également face à ces situations vécues avec le ou la conjointe alcoolique.
Abdiquer c'est un courage de changer et c'est également une force d'accepter. Pour moi, ce fut la solution.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.